D’autant que la semaine prochaine, nous recevons les premiers du Championnat : Opel. Leur pĂ©digrĂ©e est plutĂ´t Ă l’opposĂ© de celui de Grand Stade, avec 12 victoires et 1 dĂ©faite en 13 matchs.

Il serait bon que le déroulement du match permette cette fois-ci au chroniqueur de se renouveler un peu.

En effet, lors des comptes-rendus des deux derniers matchs contre Opel, on avait pu lire les mĂŞmes jeux de mots : « Opel corsa l’addition et fit le break ». Pour Ă©viter toute redite facile, il serait bon que cette fois-ci Opel ne corse rien du tout, et ne fasse pas le break. De mĂŞme, lors du dernier match, le premier but Ă©tait venu sur pĂ©nalty suite Ă une main de Kader. Il faudrait mettre un frein Ă cette pratique (frein Ă main ?).

L’annĂ©e dernière, grâce aux efforts de toute l’équipe, nous avions arrachĂ© un très beau match nul, qui avait permis ce titre excellent : « Un beau 4-4 chez Opel », complĂ©tĂ© par quelques commentaires sur un PanthĂ©on « tous terrains » (synthĂ©tique et stabilisĂ©).

Sans aller jusque là , ce serait bien que nous puissions par exemple démarrer pied au plancher et tenir à plein régime jusqu’au bout. L’idéal serait de pouvoir dire que notre domination a démarré en première (période) et après la reprise a passé la seconde.

Et avant tout, ne pas se prendre une tĂ´le.