Je m’attarde sur le symbole de la révolte du panthéon, pas une révolte contre les autres ou contre des éléments extérieurs.

La révolte juste, une violence maitrisée, une roublardise et une combativité au-dessus de la moyenne, il est le V de Vendetta.

C’est la révolution, il porte haut le football d’en-bas, le football des sans-grades, le Chavez, le Mélenchon en moins poli.

Cette révolte est légitime car c’est celle d’un homme qui revendique vouloir gagner, et la cohérence entre son discours et ses actes est indiscutable, il n’est pas le seul bien sûr mais je lui déclare publiquement mon admiration.

Il est exigent avec lui-même, il agit dans l’ombre des starlettes pleureuses et capricieuses dans le labeur de l’ouvrier, l’ouvrier du football jamais reconnu comme artiste à cause du geste parfois approximatif, mais son art a lui s’exprime dans sa détermination.

Au pinceau il préfère la truelle, mais au brouillon du sculpteur je préfèrerais toujours le chef-d’œuvre du maçon.